
"Je t'aime moi non plus"... Toujours cette indomptable partition que je rejoue éternellement à ma vie, à Paris, et même aux saisons. L'automne n'en finira donc jamais de me pousser dans mes retranchements, générant la solitude ou la passion, l'isolement ou l'envie frénétique d'action. Je lui accorde volontiers le bénéfice du doute et la laisse m'habiller de son manteau de spleen, pourvu qu'elle me l'ôte un jour sans que je n'y prête attention. En attendant me voici spectatrice, pensive-contemplative-furtive, à laisser les feuilles...
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